• Sardan , Joriol 5 Logalios du 1549ème cycle

    Il aura suffit de 15 jours passés à Sardan , pour les fêtes de la
    renaissance , pour me confiner dans l'impression perpetuelle d'entendre
    la mer , le clapotis de vagues .Je m'aperçus quelques nuits plus tard à
    Delnam , que c'étais essentiellement parce que je continuais à rêver de
    nos ballades au clair de lune avec Ehlynne .La période des equinoxes
    étaient propices à nos errances sur le littoral .Ne pouvant dormir , je
    pris une nouvelle fois ma mandoline.


    En cette nuit estivale

    Tout le monde dort, apaisé

    Nous cheminons sous la voute étoilée.



    Est ce un rêve ,

    nos habits sont sur la plage

    la trace de nos pieds , sans tréve

    qui disparait vers le rivage .

    vers des ho-ri -zons moins sages.



    La ville nous a lassé

    La vie nous a blasé

    et l'on recherche l'absolu .



    Est ce un rêve ,

    nos habits sont sur la plage

    la trace de nos pieds , sans tréve

    qui disparait vers le rivage .

    vers des ho-ri -zons moins sages.





    Les étoiles prises dans nos cheveux

    On pourrait presque les toucher

    Un voile de diamants devant les yeux

    Que tu pourrais mettre comme un collier



    Le ciel au dessus de nos têtes ,

    et la mer autour de nous,

    dans l'ecume des remous

    Nous nageons au dela des crêtes

    toujours plus loin , loin de tout



    Est ce un rêve ,

    nos habits sont sur la plage

    la trace de nos pieds , sans tréve

    qui disparait vers le rivage .

    vers des ho-ri -zons moins sages..

    de mauvais augures , de sombres présages.









    Doucement je me laissais bercer par les remous oniriques de ma
    berceuse et j'eus tôt fait de rejoindre mon tendre amour sur sa plage
    de sable blanc

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