Par
assarto dans
Chroniques futiles le
18 Septembre 2006 à 01:33
Il aura suffit de 15 jours passés à Sardan , pour les fêtes de la
renaissance , pour me confiner dans l'impression perpetuelle d'entendre
la mer , le clapotis de vagues .Je m'aperçus quelques nuits plus tard à
Delnam , que c'étais essentiellement parce que je continuais à rêver de
nos ballades au clair de lune avec Ehlynne .La période des equinoxes
étaient propices à nos errances sur le littoral .Ne pouvant dormir , je
pris une nouvelle fois ma mandoline.
En cette nuit estivale
Tout le monde dort, apaisé
Nous cheminons sous la voute étoilée.
Est ce un rêve ,
nos habits sont sur la plage
la trace de nos pieds , sans tréve
qui disparait vers le rivage .
vers des ho-ri -zons moins sages.
La ville nous a lassé
La vie nous a blasé
et l'on recherche l'absolu .
Est ce un rêve ,
nos habits sont sur la plage
la trace de nos pieds , sans tréve
qui disparait vers le rivage .
vers des ho-ri -zons moins sages.
Les étoiles prises dans nos cheveux
On pourrait presque les toucher
Un voile de diamants devant les yeux
Que tu pourrais mettre comme un collier
Le ciel au dessus de nos têtes ,
et la mer autour de nous,
dans l'ecume des remous
Nous nageons au dela des crêtes
toujours plus loin , loin de tout
Est ce un rêve ,
nos habits sont sur la plage
la trace de nos pieds , sans tréve
qui disparait vers le rivage .
vers des ho-ri -zons moins sages..
de mauvais augures , de sombres présages.
Doucement je me laissais bercer par les remous oniriques de ma
berceuse et j'eus tôt fait de rejoindre mon tendre amour sur sa plage
de sable blanc